Par Miguel Benasayag

La liberté de la presse est sacrée, le sacré aussi

Nous ne po­uvons que joindre nos voix à l’unanime condamnation de l’attentat contre Charlie Hebdo. Cela dit, n’étant ni un journal, ni journaliste, ni re­ligieux, je me permet­trai de traiter du sacré avec une ce­rtaine extéri­orité. Se mo­quer du prophète, se mo­quer de l’islam, que­lle bonne idée pour défendre la liberté de l’Occident ! Mais peut-être y aurait-il deux ou trois choses à dire, en toute amitié et pour réfléchir ense­mble.

Abonnez-vous !

Ce contenu est réservé aux abonnés. Connectez-vous pour y accéder dans sa to­talité.

Cet article – texte, dessin, photographie ou infographie - vous a plu par les informati­ons qu’il conti­ent, par l’éclairage qu’il appo­rte, par la réflexion ou l’inconfort inte­llectuel qu’il pro­voque, par sa liberté de ton, par le so­urire qu’il fait monter à vos lèvres… SO­UTENEZ NOUS ! Il n’est de pre­sse libre sans indépendance financière. GLOBAL est une asso­ci­ation de journalistes sans but lucratif, sans publi­cité, qui ne vit que des abonne­ments et dons de ses lecte­urs, lec­trices. Pour s’abonner et so­utenir c’est ici.

MERCI DE VOTRE SO­UTIEN !

« L'information est indisso­ci­able de la démo­cratie et les journaux d'informati­ons sont faits pour former et nourrir des ci­to­yen-ne-s plutôt que de les dis­traire »
Gi­lles Luneau, rédacteur en chef de GLOBAL