Les libertins guidant le peuple
A quoi ça sert de faire des villes si on ne peut rien faire dedans ? La ville est terre de délices, mais de délices triés sur le volet : on y chante, on y boit, on y flirte parfois... et pourtant on n’y baise toujours pas. Ou alors en cachette, à l’abri d’un fourré, d’une voiture ou d’un monument aux morts. Pourquoi le sexe n’aurait-il pas droit de cité dans l’espace public, au même titre que l’ivresse estudiantine ou les amoureux qui s’bécotent sur les bancs publics ? Il y a lieu de s’indigner ; pour autant, faut-il s’en étonner ?
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Gilles Luneau, rédacteur en chef de GLOBAL