Une colère qui vient de loin

Le scrutin européen éclaire une conte­station des élites au po­uvoir à Bruxe­lles et dans les parle­ments nati­onaux. Une colère plus massive encore contre les partis français de gouve­rne­ment. Bien au-delà de l’actuel gouve­rne­ment, c’est la traduction d’un rejet de 30 ans de globalisation des échanges et de financi­ari­sation de l’écono­mie.

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