Pour dire ce que l'on ne sait pas nommer

Guy Hersant est photographe. Depuis l'auto­mne, il tient une Chronique des jours, forme­lle­ment définie par deux photographies ve­rti­cales de son quotidien, ins­crites dans le format horizontal habi­tuel.  Sa langue première est la photographie y co­m­pris pour traduire sa sidération face à la vi­o­lence du vendredi noir. Il partage ici la partie de sa Chronique consacrée aux jours te­rribles que nous venons de vivre.

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